Desperate Housewives, the end

Les gens sont souvent surpris lorsqu'ils apprennent que Desperate Housewives fait partie des séries que je suis depuis le début et que j'apprécie.
Pourtant, lorsque j'ai découvert nos femmes au foyer désespérées alors que je n'étais encore qu'à l'université, je pensais observer la société américaine dans sa vie quotidienne: son puritanisme, son hypocrisie, sa microsociété organisée dans les banlieues bourgeoises...

Même si le décor est celui là, les femmes qui font l'histoire de cette série dépasse la peinture d'une époque: il s'agit de montrer comment le secret est destructeur, comment l'amitié ou l'amour viennent à bout de tous les évènements de la vie et en quoi la vie est faite de rebondissements.

Lynette, Susan, Bree ou Gaby ne sont pas que des stéréotypes, ce sont aussi des mises en situation dans lesquelles chacun est libre de se retrouver.

La saison 8 vient de s'achever et la fin est convenue mais résume parfaitement ce qu'à été la série durant toutes ses saisons: une vie adolescente devenue, bien malgré elle, adulte.